Cloture De Cette Espace Perso(Dernier Billet).

•22 novembre 2008 • 112 commentaires
Cloture De Cette Espace Perso
(Dernier Billet).
  
Voila en ce jour,

Samedi 22 novembre 2008

S’achève cette espace perso.

 

A ce jour,

J’y ai déposé 200 écrits

De ma propre plume

J’ai décidé d’arrêter de poster

Mes nouveaux textes ici.

 

J’ai ouvert un autre blog MSN

Pour continuer mes textes

J’espère que vous me suivrez,

Dans ce nouvel endroit

Bien ressemblant

À celui-ci.

 

Si vous désirez me lire

À nouveau,

Je vous laisse le soin

De me faire une demande amie

 

Voici donc le lien

De mon « new personal space» :

 

http://shawigasa.spaces.live.com/

 

Merci à vous toutes et tous

De votre gentillesse,

De votre amitié

De vos mots…

 

 

Je vous embrasse toutes et tous

@très vite en ce nouvel ailleurs.

 

Gaël LOAËC

Sous le pseudo de

Paul ANDREWS. 

La Peine.

•20 novembre 2008 • 48 commentaires

La Peine.

 

La peine est parfois

Plus forte que les pleurs

Qui coulent sur nos joues.

 

La peine est intérieure

Elle se cache

Au monde.

 

Les larmes se voient de l’extérieur.

D’un revers de manche, elles se sèchent

Et disparaissent, au vent frais matinal.

 

La peine, en son monde est « roi »

Elle rend plus fort votre cœur

Et s’interdit d’être douce.

 

La peine est frayeur

Et l’âme en subît la foudre,

Avec le tonnerre qui se gronde.

 

Les armes de peine se déposent ailleurs

Par les larmes-pleureuses

Ainsi évacuent le « trop-plein de chagrin » en soi.

 

La peine est parfois

Plus forte que les pleurs

Qui coulent sur nos joues.

 

Mais les pleurs aident

Nos cœurs à ne pas se noyer

Dans le silence de nos âmes.

 

Paul Andrews

Écrit le 03/11/2008

Mélodie D’Amour.

•19 novembre 2008 • 21 commentaires

Mélodie D’Amour.

 

De cette mélodie

Remplie d’amour

J’entends les sons

Qui s’envolent.

 

Ils sont comme un cri

Venant d’une tour

Qui nous donne le ton

Et à mes oreilles se frôlent.

 

Une douce mélodie

Qui prend tour à tour

La place du trône

Et pour laquelle, je fonds.

 

Comme une complainte

Une berceuse d’amour

Je danse de tout mon corps

À l’écoute de cette délicate chanson.

 

Lentement, je me noie

Dans l’ivresse cantique

Qui tout droit

Est sorti de mon esprit.

 

J’entends le roi

Pas si harmonique

Qui voudrait reprendre sa place de choix

Et m’y enlever cette sublime mélodie.

 

Mais de quel droit

Ce roi de "pique"

M’ôterait-il

Cette tendre musique ?

 

Comme une complainte

Une berceuse d’amour

Je danse de tout mon corps

À l’écoute de cette délicate chanson.

 

De ce chant

Remplie de passion

J’entends les sons

Qui s’envolent, aidés par les vents.

 

Telle une douce

Complainte d’amour

Remplissant mon cœur

D’une inoubliable faveur.

 

Paul Andrews

Écrit le 01/11/2008

Douce Innocence.

•18 novembre 2008 • 20 commentaires
DoucE InnocencE.
 
douce innocence
 

Voyez les yeux

De l’innocence,

Doux regard tendre

De la jeunesse.

 

Choyez cette fée-pureté

Et câline de l’enfance,

Pour nous en faire

Un être de douceur.

 

Dites lui,

L’amour de vie

Qu’elle dégage.

Dites lui,

De ne pas en faire ombrage.

 

Voyez les sons

Mélodieux

Qui se dispersent,

De ses doux yeux.

 

Choyez cette fille,

Que ses rêves

Restent aussi beaux

Qu’un envol de moineaux.

 

Dites-lui

L’amour de vie

Qu’elle dégage.

Dites-lui

De ne pas en faire ombrage.

 

Protégez-la,

Que son enfance

Se fige,

En innocence.

 

Dites-lui…

…Surtout dites-lui

Avant qu’il ne soit trop tard.

 

Paul Andrews

Écrit le 25/10/2008

 

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Ce texte est un écrit inspiré

Désirs Enfouis.

•17 novembre 2008 • 20 commentaires

Désirs Enfouis.

 

Sous la couette,

Tu refoules mes envies,

Me tourne le dos,

Les yeux clos.

Le cri d’une mouette

Au matin fleuri,

Te réveille en sursaut,

Saloperie d’oiseau.

Tes désirs

Se sont enfouis,

Sans aucun bruit

Notre amour semble en sursis.

 

Petits câlins du soir,

J’en avais espoir.

Câlins du matin,

Me sont partis en chagrin.

Le cri de mon cœur

Commence à te faire peur.

Tu prends enfin conscience

De mon impatience.

Tes désirs

Se sont enfouis,

Sans aucun bruit

Notre amour semble en sursis.

 

Au coucher,

Tu me prends la main,

M’emporte près du lit,

J’en suis surpris.

Séance de câlinage,

Tu opères

Jusqu’ au déshabillage

Et j’en suis plutôt fier.

Tes désirs

Se sont à nouveau réveillés.

En cette nuit

Nos corps, à nouveau réunis.

 

Paul Andrews

Écrit le 25/10/2008

Le Malfaisant Et L’Âme De Bonté.

•16 novembre 2008 • 20 commentaires

Le Malfaisant Et L’Âme De Bonté.

 

Le mal est présent

Le bien est là,

Comme calmant

Mais le malfaisant détruit

Tout sur son passage

Et les âmes de bonté

Doivent tout recommencer.

Le mal est omniprésent

Le bien, toujours en lutte

S’efforce de sauver nos gens

Mais le malfaisant nuit

Avec une telle ampleur de rage

Que les âmes de bonté

Doivent le combat, continuer.

Pauvre terre

Chasse tes démons

Envoie ton armée d’anges

Combattre par tes bonnes paroles.

 

Le mal est méchant

Le bien est alléchant

Comment ne pas vouloir

Avoir la foi

En ce combat.

Le mal pour certain, est tentant

Le bien n’est pas toujours payant

Mais veuillez bien croire

Que la malfaisance

N’est pas un bon choix

Au Paradis, vous n’irez pas.

Pauvre terre

Chasse tes démons

Envoie ton armée d’anges

Combattre par tes bonnes paroles.

 

Le malfaisant

Perd de son entrain

L’âme de bonté

A commencé à le remettre

Sur le droit chemin.

Âme de bonté

Ne desserre pas ton frein

Le malfaisant

A repris du terrain

Par la force du Maitre si malin.

Pauvre terre

Chasse tes démons

Envoie ton armée d’anges

Combattre par tes bonnes paroles.

 

Paul Andrews

Écrit le 25/10/2008

Un Club Si Privé.

•15 novembre 2008 • 22 commentaires

Un Club Si Privé.

 

Bienvenue à vous

Bande de Oufs

En ce lieu de fous.

 

Permettez-vous

De me dire vos envies

Et vos emmerdes.

 

Dites-moi aussi

Ce qui se passe

Dans vos p’tites têtes.

 

Ne soyez pas exécrables

Où bien vous semblerez

Bien détestables.

 

Délirez vos souvenirs

D’un temps échu

Sans vous noyez dans le fût.

 

Annoncez-vous en conneries

En ce lieu

J’aimerais qu’on en rie.

 

Prenez-vous le bec

Écoutez mon rire

Qui s’traine dans ma tête.

 

Aimez-vous

Délirez d’une manière

Totalement magique.

 

Prenez-vous le chou

Sans pour autant

Foutre le bordel.

 

Ne cassez surtout pas

 Votre belle amitié

Dans ce club si privé.

 

Paul Andrews

Écrit le 25/10/2008

La Méchanceté N’Est Pas Amie.

•14 novembre 2008 • 19 commentaires

La Méchanceté N’Est Pas Amie.

 

La méchanceté

N’est pas amie.

On devrait la fuir !

 

Sauves-toi

De cette immonde personne

Qui ose

Te balancer des choses

Qui te rendent coupable.

 

De ton douloureux passé,

La folie lui appartient.

Et toi,

Tu nous viens

De la terre de raison.

 

La méchanceté

N’est pas amie.

On devrait la fuir !

 

Éloignes-toi

De cette p’ôvre conne,

Qui telle une rose épineuse

Pique ton cœur,

Au plus profond.

 

De ton douloureux passé

Elle se permet de te juger,

Alors qu’elle ne connait

Pas vraiment la raison

De ton âme en crevaison.

 

La méchanceté

N’est pas amie.

On devrait la fuir !

 

Coures vite

Et au loin devant

Ne te retourne pas.

Fuis l’homme

Et tout ses travers.

 

La douleur ancestrale

Par le temps

S’effacera.

Le mal subit,

Jamais tu n’oublieras.

 

La méchanceté

N’est pas amie.

On devrait la fuir !

 

Alors coures, fuis, éloignes-toi

Et ne te retourne pas.

La cruauté de ses mots

Ré-ouvre les sombres entrailles

De ton cœur.

 

La méchanceté

N’a pas d’amis.

Elle n’a que

Des maux et des mots 

À nous crier et à nous dire.

 

La cruauté n’est pas

Et n’a encore moins d’amis.

 

Paul Andrews

Écrit le 22/10/2008

Un Café Sur Le Port.

•12 novembre 2008 • 21 commentaires

Un Café Sur Le Port.

 

Je t’ai attendu

Sur le port

D’Amsterdam

Pour le café.

Je m’y suis rendu

Par le train

De la Gare Du Nord

Et je ne t’ai pas trouvé.

Est-ce un leurre

Que tu m’as posé ?

Ou bien alors me suis-je

Trompé dans l’heure ?

 

J’épiais ta venue

De la terrasse du café

Je regardais vivre les passants

Et les habitants du quartier.

J’imaginais des scènes grotesques

Pour passer le temps

Je souriais tout seul

Pour ne pas faire voir mon angoisse qui montait.

Est-ce un leurre

Que tu m’as posé ?

Ou bien alors me suis-je

Trompé dans l’heure ?

 

Alors du petit café sur le port,

J’y suis parti

J’ai repris chemin

Vers la gare.

Je suis monté

Dans ce train

En partance

Vers chez moi.

Est-ce un leurre

Que tu m’as posé ?

Ou bien alors me suis-je

Trompé dans l’heure ?

 

J’y ai fait un aller-retour

Juste pour un café

Que je me suis payé

Tout seul.

Mais je dois dire

Que ce petit voyage m’a dépaysé

Et si tu m’invites une fois de plus

Au café, encore j’y retournerai.

Quelle

Heure

Le

Prochain

Train

Pour

Le

Café ?

 

Paul Andrews

Écrit le 20/10/2008

Quand On Était Petit.

•11 novembre 2008 • 17 commentaires

Quand On Était Petit.

 

Quand on était petit

On rêvait joliment

D’un futur

Où tout était beau

Tout était gentil.

Lorsque un amour

Vient à notre porte

Des bras chaleureux

À nous, s’ouvre,

Ce rêve devient en parti réalité.

Mais tous nos songes d’enfant

Ne se réalisent pas d’un simple

Coup de baguette magique,

Alors il nous reste encore un infime espoir.

L’espoir

En de jours merveilleux

Où nos pensées enfantines

Viendraient tout chambouler.

 

Quand on était petit,

On filmait à soi

Nos critères sur l’avenir.

C’est bien dommage que

Tout ne se passe pas de cette façon.

Mais quand on est petit

Nos jolis rêves d’enfants

Font de nous 

Avec une certaine ampleur

Ce que nous seront à l’âge adulte.

Alors rêvons encore

Bien que

Nous ne soyons

Plus dans l’enfance.

Rêvons encore et maintenant,

Car les songes les plus beaux,

Nous feront vivre, dans notre cœur,

De magiques moments, pour très longtemps.

 

Paul Andrews

Écrit le 18/10/2008

Ô Toi.

•9 novembre 2008 • 21 commentaires

Ô toi.

 

Ô toi,

Enlève ce masque

Montres-toi comme au 1er jour

De ta venue sur cette terre

Juste toi et ton innocence

De ce monde triste et injuste.

 

Ô toi,

Viens et avances doucement

Sans aucune peur

Vois le bonheur que

Chacun d’ entre nous

Pouvons transmettre.

 

Ô toi,

Suis la lumière divine

Celle qui illuminera ton cœur

Observes aux alentours

La bonté naturelle des choses

Infranchissable à l’œil nu.

 

Ô toi,

Enlève ce masque

Bien trop grand pour toi

Enfiles celui qui

T’aidera à retrouver le sourire

De l’amour jusqu’à en mourir.

 

Paul Andrews

Écrit le 17/10/2008

Moi…Wilona.

•8 novembre 2008 • 18 commentaires

Moi…Wilona.

(Ma parodie de la chanson " Moi…Lolita", d’Alizée)

 

Moi je m’appelle Wilona

Wiwi ou bien Wilo

C’est tout idem

Moi je m’appelle Wilona
Quand je rêve aux joujoux
C’est Wilo qui s’baigne
Quand j’tire ma p’tite langue à toi
C’est comme un p’tit sourire
Aussi doux qu’un je t’aime
Je m’appelle Wilona
Wilo plein de vie, Wilo aux bisous qui s’viennent.

{Refrain :}
C’est pas très drôle
Et quand j’tire ma p’tite langue ou pas
Je vois papa, maman
Tout prêts à gronder près d’moi
C’est pas très drôle tout ça

Même si on m’appelle à chaque fois
"Alors, tit chouchou, t’es ou" (W.I.L.O.C.H.O.U)
Moi Wilona.

Moi je m’appelle Wilona
Tit baby aux yeux
Bleus, si belle
Moi je m’appelle Wilona
Joyeuse et pas
Ni-grognon, ni-vilaine
Chut et langue fourchue qui n’raconte pas
A ma p’tite maman que je
Suis une chipie naine

Je m’appelle Wilona
Wilo plein de vie, Wilo aux bisous qui s’viennent.

{Refrain, x2}

WI-LO-NA {x8}

{Refrain, x3}

 

Paul Andrews

Écrit le 18/10/2008

 

*Parolier de l’œuvre originale :

.Mylène Farmer.

 

*compositeur :

.Laurent Boutonnat.

Nous Sommes.

•6 novembre 2008 • 24 commentaires

Nous Sommes.

 

Nous sommes

Des ombres

De nous-mêmes

À la recherche

D’une moitié.

 

Nous sommes

Des bombes

Que le vent a semé

À l’aube fraiche

Prêtes à exploser.

 

Nous sommes

Les yeux de la colère

Nous sommes

Des cœurs en détresse.

 

Nous sommes

En attente

De notre jugement

Qui sera

Dernier.

 

Nous sommes

Au chemin d’un croisement

Et sur une longue pente

On trouvera

Notre paix.

 

Nous sommes

Les yeux de la vie

Nous sommes

Des cœurs en sursis.

 

Nous sommes

Tout ça

À la fois.

Nous sommes…

 

Paul Andrews

Écrit le 17/10/2008

Vole Petite Colombe.

•4 novembre 2008 • 22 commentaires

Vole Petite Colombe.

 

Vole vole

Petite colombe

Apporte paix

Et envoie l’espoir

En notre monde.

 

Vole vole

Petite colombe

Fait de cette envolée

Une issue ou plus jamais

N’existe le trou noir.

 

Vole vole

Petite colombe

Mène à la lumière

Les fées qui ont en chemin

Perdu de leurs douces étincelles.

 

Vole vole

Petite colombe

Ne t’arrête pas de ton chemin

Le maitre de guerre voudrait faire de toi,

Un oiseau du désespoir.

 

Vole vole

Petite colombe

Vole et te retourne pas

Apporte ton espoir de paix

D’amour et de sincérité.

 

Paul Andrews

Écrit le 11/10/2008

Adorables Bisous.

•3 novembre 2008 • 17 commentaires

Adorables Bisous.

 

Adorables bisous

Câlinage tendre

Aussi bon et doux

Qu’une pâte d’amande.

Sur la joue

Doux câlin

Qui se joue

À chaque petit jour.

Adorables bisous

Que je reçois

Dans le cou

Ça me rend tout fou.

 

Sur les lèvres

Cette tendresse d’amour

Que tu m’envoies

Me remplit d’émoi.

Adorables bisous

Câlinage tendre

Aussi bon et doux 

Qu’une pâte d’amande.

Du bout des doigts

S’envole les bisous

Une tendre pensée

Pour une bise volée.

 

Adorables bisous

Que je reçois

Sur mon cœur

Que tu connais par cœur.

Sur la main

Un tendre bisou.

Pour demander la tienne

Je me mets à genoux.

Adorables bisous

Câlinage tendre

Aussi bon et doux 

Qu’une pâte d’amande.

 

Paul Andrews

Écrit le 11/10/2008

L’Affreux

•1 novembre 2008 • 29 commentaires
L’Affreux.
 
l'affreux
 

Je

Suis

L’

Affreux

L’

Épouvantail

En

Paille

Je

Suis

Celui

Qui

Fait

Peur

Aux

Oiseaux

Et

Qui

Fait

Fuir

Les

Petits

Enfants

Corbeaux.

 

Je suis

L’affreux

L’affreux

Jojo

Aux vêtements

En disloque

Mon maitre

De chair

Ne m’a pas

Fait de cadeaux.

 

Je suis l’affreux

Un épouvantail malheureux,

Déguisé comme pour

La fête d’Halloween,

De moi, il ne reste que ruine.

 

Je

Suis

L’

Affreux

Au

Chapeau

Hideux

mal-fagoté

Par

Le

Temps

Des

Vêtements

Troués

J’

Ai

Si

Froid

Que

Lorsque

Vient

Le

Soir

J’

En

Grelotte

D’

Effroi.

 

Je suis

L’affreux

Une poupée de paille

Planté dans un jardin

Sans oiseaux

Ni fleurs

Sans enfants

Qui rigolent gaiement

Je suis l’affreux

Le Jojo malheureux.

 

Je suis l’affreux

L’épouvantail en paille

Je suis celui

 Qui fait peur aux oiseaux

Et qui fait fuir les petits enfants corbeaux.

 

Je

Suis

L’affreux

Et

Je suis

Bien

Malheureux.

 

Paul Andrews

Écrit le 22/10/2008

 

IMG_0766

 Photo de l’épouvantail prise le 19/10/2008

Dame Nunuche Et Sa Caniche.

•28 octobre 2008 • 29 commentaires

Dame Nunuche Et Sa Caniche.

 

Dame Nunuche et sa Caniche

vivent très heureux

En leur maison,

Aux couleurs de pois-chiches.

 

Dame Nunuche promène

Sa chienne aux boucles en friches,

S’arrête chez le toiletteur

Pour lui faire une belle coupe un brin kitch.

 

Postiche, la petite Caniche

vit comme une princesse

Avec sa Nunuche-maîtresse

Qui se prend pour une belle pouliche.

 

La toutou à sa Nunuche

Voudrait bien pourtant quitter

Le doux foyer de temps en temps,

S’évader quelques instants.

 

Elle décida de partir aventureuse

Dans les ruelles tristes et inquiétantes.

Nunuche, le dos tourné

Miss Caniche se fît la belle.

 

Postiche détale à toutes pattes,

Dans un monde quelque peu inconnu.

Commence à avoir une fringale,

Tellement elle a couru.

 

A un coin de rue

Elle croise Bouboulle le bulldog,

Qui lui dit qu’il se ferait bien

Un hot-dog.

 

A ce mot, la petite Caniche

Ravala sa salive

Et crût que c’est elle

Qui servirait de repas à l’énorme et imposant bulldog.

 

Bouboulle rigola bien fort

Que Postiche se demanda pourquoi.

L’autre chien par mille et une explications

Lui narra cela.

 

La Caniche à sa Nunuche

Après explication, rouge de honte,

Aurait bien voulu enterrer

Sa tête dans une ruche.

 

Bouboulle invita sa nouvelle amie

À un "chien-chaud" party

Chez son maître Monsieur Kerboul,

Dans leur petite maison qui roule.

 

Postiche la Caniche

Se sentait bien avec son copain.

Bouboulle le bulldog

Eût une idée de génie !

 

Ils décidèrent tout deux

De faire rencontrer :

La Nunuche à sa Caniche,

D’avec Monsieur kerboul à son Bouboulle.

 

Par les chiens si rusés

Monsieur Kerboul

Et Madame Nunuche

Tombèrent nez à nez.

 

N’étant pas du même monde

Néanmoins, ils se sentaient attirés

De voir, leur plan, à merveille se déroulait

Les toutous à leurs maîtres, de joies, firent la ronde.

 

Pour Monsieur Kerboul et Madame Nunuche,

Pour Bouboulle le bulldog et Postiche la Caniche,

Alors commença une belle aventure,

Celle de deux amours qui durent.

 

Paul Andrews

Écrit le 10/10/2008

Epreuves De Vie.

•26 octobre 2008 • 16 commentaires

Épreuves De Vie.

 

Des épreuves

Nous devons en passer,

Pour enfin se sentir libre

D’avancer vers quelqu’ un,

Quelque chose, un soutien.

Mais elles sont parfois

Dures à gravir les montagnes

De la sérénité.

J’espère un jour

Que chacun, de vous, de nous,

Arrivent à se dévoiler.

Afin de chasser le dur passé

Qui entrave un vrai bonheur.

Les épreuves de la vie

Ouvrent à un autre esprit.

S’ouvre en nous un chemin

Où les portes claqueront

Et enfermeront cet avant.

Mais elles sont parfois

Dures à gravir les montagnes

De la sérénité.

A nous de faire en sorte

D’aider notre prochain

De se battre contre le malin

De stopper son avancée,

D’être en de mauvaises mains.

Et ainsi réussir

Par la force

Du bon vouloir

D’accepter son destin

Une reprise de soi,

En de bonnes mains.

Elles sont parfois

Dures à gravir les montagnes

De la sérénité…

…mais je sais

Que du courage,

À revendre, vous en avez.

 

Paul Andrews

Écrit le 07/10/2008

Saloperie De Changement D’Heure.

•26 octobre 2008 • 33 commentaires

Saloperie De Changement D’Heure.

 

C’est une journée

Qui s’annonce mauvaise

Une journée qui va s’trainer

Dans toute sa longueur.

Saloperie de changement d’heure !

On se dit :

"Chouette alors

On va dormir

Une heure de plus."

Tu parles !

On se lève à 7 heures

Et finalement

Il n’est que 6 heures.

Saloperie de changement d’heure !

Ma fille, la dernière

Vient de se réveiller

Tu parles,

Pour elle, c’est un réveil

Comme d’ habitude

Allez lui faire comprendre :

"Tu sais mon p’tit bébé

Il n’est pas l’heure

De se lever encore

Il n’est pas 7 heures du mat

Mais seulement 6 heures."

Saloperie de changement d’heure !

C’est une journée

Qui s’annonce mauvaise

Une journée qui va s’trainer

Dans toute sa longueur.

Saloperie de changement d’heure !

Déjà je suis assez lève tôt

Dieu merci mes yeux

Ne se sont pas ouverts

À 6 heures du mat

Sinon en réalité,

Il n’aurait été que 5 heures

Sur l’horloge de ma cuisine

La journée va être longue.

Saloperie de changement d’heure !

Vivement ce soir

Que l’on se couche

Car je sens que la fatigue

Viendra plus vite que prévue,

Aussi speed que la nuit qui tombera.

Je le savais

Que les corps, les esprits

Avec tout ça, en seraient chamboulés.

Saloperie de changement d’heure !

C’est une journée

Qui s’annonce mauvaise

Une journée qui va s’trainer

Dans toute sa longueur.

Saloperie de changement d’heure !

 

Paul Andrews

Écrit le 26/10/2008

L’œil.

•25 octobre 2008 • 13 commentaires

L’œil.

 

Un œil aux aguets

En face de moi

Par insistance

Me regarde.

 

De son allure étrange

Il lézarde

Et tente de pénétrer

Mon moi.

 

Bel œil

Aux chaudes couleurs

Tu hypnotises

Mon âme.

 

Tel une aiguise

Lame

Tu t’enfonces

En ma chair.

 

Un sombre deuil

À chaque clignement

De paupières

Je le laisse me lire malgré moi.

 

Un œil

À l’allure étrange

Hypnotise

Mon moi, ma chair, mon intérieur.

 

Pour m’en défaire,

Du bout de la pointe

D’un long couteau,

Il me faudrait le transpercer.

 

Bel œil

Ferme donc ton volet.

Aux sombres deuils

Laisse une larme y tomber.

 

Paul Andrews

Écrit le 21/09/2008

Bercez-Moi.

•24 octobre 2008 • 28 commentaires

Bercez-Moi.

 

En chaque cœur

Il y a un secret bien gardé

Et en chaque âme

Coule en nous une rivière

Pas toujours si sereine

Remplie de larmes de sang.

 

Bercez-moi d’une mélodie d’enfer

Sans pour autant en faire sortir Lucifer.

Bercez-moi tout doucement

Pour enfin retrouver, en moi, de bons moments.

 

En chaque mot prononcé 

Y’a des maux

Qui ressurgissent du passé

Et qui ne manquent à personne.

Les blessures que porte mon cœur

Ne savent comment les guérir.

 

Bercez-moi d’une mélodie d’enfer

Sans pour autant en faire sortir Lucifer.

Bercez-moi tout doucement

Pour enfin retrouver, en moi, de bons moments. 

 

Un parfum envahissant

Titille mes narines.

Comme une fièvre venant

Mon corps, à petit feu, brûle

Et je ne sais comment l’éteindre

Avant de n’être plus que chair cramée.

 

Bercez-moi d’une mélodie d’enfer

Sans pour autant en faire sortir Lucifer.

Bercez-moi tout doucement

Pour enfin retrouver, en moi, de bons moments. 

 

En moi, se trouve un trésor si bien enfouit

Que j’en ai même oublié où il se trouvait.

Alors s’il vous plait,

Si la clé, vous trouvez

Jetez-la très loin

Car de mon corps peut surgir le malin.

 

Bercez-moi d’une mélodie d’enfer

Sans pour autant en faire sortir Lucifer.

Bercez-moi tout doucement

Pour enfin retrouver, en moi, de bons moments. 

 

Paul Andrews

Écrit le 02/10/2008

Marcher Sur Les Pas De La Vie.

•21 octobre 2008 • 31 commentaires

Marcher Sur Les Pas De La Vie.

 

Marcher sur les pas de la vie

Lentement mais marcher

À sa petite

Mais certaine vitesse.

Savoir prendre le temps

De regarder devant soi

Aller droit en son avenir

En tournant le dos

À son passé.

Voir le présent qui

N’est pas toujours simple

Juste ouvrir

Sa vie à la vie.

 

Marcher sur les pas de la vie

Donner de son cœur

Et ne pas oublier

D’ où vous êtes parti.

Savoir où la route vous mènera

En éviter les chemins tortueux

Qui peuvent faire

D’une vie à deux

Un amour apocalyptique.

Voir le futur

Qui fera de votre vie

Une tendre complicité

Avec la vie.

 

Marchons sur les pas de la vie

Lentement mais marchons

À nos petites

Mais grandes vitesses.

Marchons sur les pas de la vie

Donnons de nos cœurs

Et ne pas oublier

D’ où on est parti.

 

Paul Andrews

Écrit le 27/09/2008

Rendez-Vous Avec La Mort.

•18 octobre 2008 • 47 commentaires

Rendez-vous Avec La Mort.

 

J’ai décidé

De ne plus revenir

De vous quitter

Un appel lointain m’est parvenu

S’ il vous plait, soyez

En accord avec mes dires.

 

J’ai pris

Rendez-vous avec la mort

Ce soir

Parmi vous,

Je ne serais plus.

 

J’ai voulu

Vous prévenir

De ne pas pleurer

Que vos larmes se taisent 

Maintenant, il est trop tard

Ma décision est prise.

 

Car j’ai pris

Rendez-vous avec la mort

Parmi vous,

Ce soir

Je ne serais plus.

 

Je n’ai pas

À vous dire

Le pourquoi de cela

Juste que

Dans les bras

Si froid, de la mort

Je me sentirai enfin libre.

 

J’ai pris

Rendez-vous avec la mort

Ce soir

Parmi vous,

Je ne serais plus.

 

Vous êtes bien sûr en droit

De vous poser des questions

Mais sachez

Que je n’y répondrais pas

Car le temps à présent

M’est compté.

 

Ce soir

Par une nuit

De pleine lune

J’ai rendez-vous

Avec la mort.

 

Je ne sais encore

De quelle façon

Mais je vous assure

Que cela ne passera pas

Inaperçu.

 

Paul Andrews

Écrit le 25/09/2008

Des Anges-Enfants Aux Paradis.

•16 octobre 2008 • 25 commentaires

A Sophie et ses anges.

 

Des Anges-Enfants Aux Paradis.

 

Des anges-enfants

Dans le ciel du paradis

Des parents toujours en pleurs

Par leurs grandes souffrances.

 

Un tragique destin qu’ils n’approuvent

Une malheureuse malchance

N’oubliez pas la peine

Qu’ils ont de leurs cœurs.

 

Mais la vie est ainsi

Avec son lot de chagrin

Voyez dans le ciel

Tout ces anges-enfants

Qui se prennent la main.

Une ronde géante

Pour de meilleurs

Lendemains.

 

Des anges-enfants

Dans le jardin du paradis

Vous lancent un rose sourire

Pour mettre un peu

De baume dans vos cœurs.

 

Un tragique destin

Qu’eux-mêmes ne voulaient pas

Mais voilà que dieu en personne

Les a appelés pour accomplir une mission

Celle de veiller sur chacun d’ entre vous.

 

 Ainsi la vie est

Avec son lot de chagrin

Voyez dans le ciel

Tout ces anges-enfants

Qui se prennent la main.

Une ronde géante

Pour de meilleurs

Lendemains.

 

Des anges-enfants

Dans le potager du paradis

Cultive l’amour et l’espoir.

A vous de continuer

À le répandre sur terre

Et encore la force d’y croire.

 

Un nouveau destin

S’ouvre à vous

De prêcher l’amour, la paix

Et tant de belles choses.

Pour tout ces enfants qui eux,

N’ont pas eu le temps de le faire.

 

La vie est ainsi faite

Avec son lot de chagrin

Mais aussi d’espoir

Voyez dans le ciel

Tout ces anges-enfants

Qui se prennent la main.

Une ronde géante

Pour de meilleurs lendemains.

 

Paul Andrews

Écrit le 11/10/2008

Comment Croire Encore À L’Amour.

•11 octobre 2008 • 43 commentaires

Comment Croire Encore À L’Amour.

 

Comment croire encore à l’amour

Quand tout semble s’écrouler

De nous, tout autour.

 

Comment faire pour reprendre le cours

D’une vie si belle et si douce.

 

Juste vouloir aimer

Encore un petit peu.

 

De voir éclater cet amour

Qu’il y avait entre vous deux

La tristesse a envahi mon cœur

Ce silence incompris a détruit votre passion.

 

Comment croire encore à l’amour

Alors que de l’escalier

À toute vitesse, il a dégringolé.

 

Comment faire pour reprendre le cours

D’une vie si tendre et si douce.

 

Juste vouloir y croire

Encore un petit peu.

 

Espérer voir renaître cette flamme

Qu’il y avait entre vous deux. 

Que la raison l’emportera sur la pression

Qui serre ce corps et ce cœur en décomposition.

 

Comment croire encore à l’amour,

Celui que vous nous avez montré

Depuis notre tendre enfance.

 

Comment faire pour reprendre le cours

D’une vie si belle et si douce.

 

Juste vouloir aimer

Encore un petit peu.

 

Croire que ce feu éteint par les années, se rallume

Et surtout faire taire ce silence

Qui a obscurcit votre passion

Et qui vous a fait chasser de la maison.

 

Comment croire encore à l’amour

Entendez-vous le cri sourd

Qui se déguise et qui s’envole en larmes.

 

Comment faire pour reprendre le cours

D’une vie si tendre et rempli d’amour.

 

Comment croire encore 

À un amour durable

Comment y croire

Alors que tout

S’écroule devant nos yeux ?

 

Paul Andrews

Écrit le 02/10/2008